Plongez dans l’incroyable destin de treize aviatrices américaines des années 60, engagées dans un programme clandestin pour préparer les femmes à la conquête spatiale. Inspiré d’une histoire vraie, Cosmos mêle témoignages d’hier et paroles de scientifiques d’aujourd’hui dans une mise en scène spectaculaire de Maëlle Poésy. Théâtre, danse, cirque et vidéo s’entrelacent pour donner vie à un spectacle captivant et émouvant.
jeudi 24 avril | 19 h (représention proposée en audiodescription*) + bord de plateau
vendredi 25 avril | 20 h
Billetterie en ligne (tarif 10 €)
*Représentation en audiodescription par Marie-Émilie Gallissot + visite tactile du plateau en amont de la représentation du jeudi 24 avril.
+ d'infos : 03 28 51 40 40
Vendredi 4 avril, ne manquez pas MuTe, un spectacle qui vous plongera dans une expérience électrisante où la danse et la musique électronique ne font plus qu’un !
Sous la direction de Bérénice Legrand, cinq performeurs.euses réinventent les gestes des DJ pour une chorégraphie euphorisante et libératrice.
Après le spectacle, place à l’after DJ Set avec Benjamin Collier : un mix enflammé où se croisent époques et styles… Impossible de résister !
vendredi 4 avril | 20 h
Billetterie en ligne (tarif 10 €)
Spectacle proposé dans le cadre du festival Kidanse, en coréalisation avec L'Échangeur - CDCN Hauts-de-France.
Les coupes budgétaires de l’Etat et des collectivités plongent le service public de l’art et de la culture dans une situation alarmante.
Chaque fois qu’une coupe budgétaire de 20.000 euros est annoncée, c’est l’équivalent d’un emploi permanent dans une structure culturelle ou d’un emploi artistique, technique ou administratif intermittent, qui est menacé de disparition.
À chaque perte d’emploi, c’est l’accès à l’art et à la culture qui recule pour toute la population française, dans les villes, dans les villages ruraux, dans les banlieues. C’est moins de créations, moins de représentations, moins d’éducation artistique dans les établissements scolaires, moins d’interventions culturelles dans les hôpitaux ou ailleurs. À chaque perte d'emploi, les risques augmentent de cessation d’activité des équipes artistiques et des lieux qui nous permettent de nous réunir et de faire débat.
Le contexte d’austérité budgétaire ne peut pas occulter les menaces qui planent sur notre démocratie. C’est pourquoi nous disons que sacrifier les services publics, dont celui de l’art et de la culture, est un calcul dangereux au regard des grands bénéfices sociétaux qui en découlent. Que l’État consacre 0,8 % de son budget à cette politique publique est déjà largement insuffisant pour répondre aux besoins exprimés par la population et par les professionnels.
Aussi, nous toutes et tous, bénéficiaires du service public de l’art et de la culture, publics, artistes, technicien.ne.s, salarié.e.s, directeur.ices de lieux, nous nous tenons debout, ensemble, pour affirmer notre besoin d’une culture vivante qui stimule les imaginaires, partage les savoirs, reflète notre diversité et favorise le bien vivre ensemble.
Ensemble, nous nous tenons debout pour défendre notre service public, ses emplois et les revendications portées unitairement par les syndicats d’employeurs et de salariés.